Gaya est le nom d'une région situé au sud de la Corée, c'est monsieur Park qui a baptisé ainsi son restaurant qu'il a repris début 2008.
Une ambiance décontracté avec de la musique pop Coréenne en fond sonore et une équipe dynamique toujours de bonne humeur.
En cuisine, un chef qui pratique une cuisine authentique sans transformation pour les palais occidentaux.
Tout en longueur, le restaurant s'ouvre sur l'extérieur avec une longue vitrine laissant passer abondemment la lumière du jour dans la salle.
La décoration est agréable : murs couleur Ambre, tableau contemporain en noir et blanc, meubles en bois d'extrème orient, poteries asiatiques, jardins miniatures...
Beaucoup de petits éléments de décoration tout en restant simple et zen.
Les chaises en paille tressée avec un petit coussin sont acceuillantes et renforcent le côté jardin ensoleillé de l'endroit.
Au fond de la salle, un sushi bar propose aussi une petite carte Japonaise avec sushi, maki, sashimi et autres assortiments de poisson crus.
Fréquenté par une large clientèle de la communauté Coréenne, il attire aussi de nombreux habitant du quartier en quête d'exotisme.
En entrée la salade au surimi est fraîche, classique et toujours sympa pour les dames en quête de "ligne".
Nous avons dégusté l'assortiment de beignets de légumes, poisson et crevettes.
Frits dans l'huile avec une panure fine et croustillante et accompagné d'une sauce soja et sésame très parfumée. C'est généreux, bon et pas imbibé d'huile, à conseiller.
Le tartare Coréen au boeuf est une surprise, ne m'attendant pas du tout à trouver un plat de la sorte au menu.
Préparé et macéré avec de l'ail, du gingembre, de la sauce de soja et des graines de sésames, de la poires confite... l'ensemble est délicieux et la présentation avec un chapeau "marguerite" fait d'un jaune d'oeuf et de pétale d'ail est ravissante.
Les crèpes coréennes sont aussi une bonne option, nature, au Kimchi ou aux fruits de mer et ciboulette, servies épaisses avec le fondant propre à l'utilisation de la farine de soja...
A gouter également, le Goun Man Dou : des raviolis dorés et farcies à la viande de porc, légumes et vermicelles de riz..
Autre entrée typique, le Jab-Ché : vermicelles de riz sautés avec du boeuf et des champignons, difficile à manger avec les baguettes mais tellement bon !
Côté plat, la cuisine Coréenne est avant tout connue pour ses barbecues.
Cette spécialité s'appelle le bulgogi, qui traduit littéralement du coréen veut dire "viande au feu".
La viande de boeuf ou de porc est mariné dans une sauce à base de soja, sésame, sucre et gingembre afin d'être attendrie et envahie de parfums.
Grillée sur une plaque en fer de forme conique, la viande cuit en libérant ses graisses sur les bords "gouttière" du grill.
Au Gaya le grill utilisé est un petit réchaud au gaz portatif qui vous permet de cuisiner à même la table.
Il est dommage que le charbon de bois ne peux plus être utiliser dans les nouveaux restaurants Coréens se montant dans la capitale, un arrête municipal interdisant l'utilisation des grills à braises...
Sur demande, les serveurs viennent à votre table afin d'effectuer les manipulations de cuisson, le spectacle de salle est toujours appétissant.
La fondue Coréenne est un plat d'hiver qui saura vous réchauffer intensement !
Originaire de Mongolie, les soldats de Gengis Khan mitonnait tout se qu'ils pouvait trouver dans une grande marmite autour de laquelle s'attroupait les hommes... et lorsqu'il n'y avait pas de marmite ? Le casque devait bien faire affaire !
Répendu à travers toutes l'asie, les fondue ont toutes leur variantes : à la chinoise (huǒguō), à la japonaise (ShabuShabu) ou à la Cambodgienne (Yahorn)...
La fondue version Coréenne se présente ici avec une marmite composée de deux compartiments, proposant habillement deux bouillons, doux et pimenté.
Viande, fruits de mer et légumes enrichiront ces deux consommés qui en capteront les saveurs.
C'est diablement savoureux et très ludique à plusieurs.
Les desserts ne sont malheureusement jamais très bien représentés dans la restauration asiatique à Paris...
On a gouté les gâteaux de riz fourrés aux haricots rouges, pas mal mais servis malheureusement un peu trop froids.
A découvrir également la gélatine de marron ou au thé vert, ou encore le gâteau coréen au miel.
Pour boire on se régalera de la bière nationale Coréenne, la OB, fraiche et légère.
Petite carte des vins à prix tout doux, à partir de 16€ la bouteille.
En apéritif ou digestif, plusieures spécialités typiques sont à la carte, comme le saké, bokbunja (vin à la framboise) ou Baekseju (vin au gingembre et à la canelle).
L'acceuil est un autre point fort de la maison, toute l'équipe choucoutent les clients, au point que certains habitant du quartier possèdent leur "rond de serviette" dans la maison.
Un restaurant proposant la cuisine créative du chef Park formé à l'école Bocuse et qui est passé dans de belles maison comme Troisgros ou chez Hervé Sauton. Dans une salle épurée on déguste des plats travaillé à la française avec des touches coréennes pétillantes.
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